Michael Michele : Dr Cleo Finch

 

Elle est la ravissante pédiatre qui fait craquer le Dr Benton.
A 33 ans , Michael Michele a tous les talents. 
Enthousiaste , elle est aussi un as au basket.


Avant « Urgences » , vous avez incarné , durant une année , Rene Sheppard , la 
détective de la série « Homicide ».
Ces deux expériences ont-elles des points en commun ?

Ces deux séries ont un rythme de tournage incroyablement rapide. Elles sont aussi 
incroyablement bien écrites . Cependant , je suis ravie d’avoir pu acquérir une certaine 
expérience dans « Homicide ». Sinon j’aurais été déroutée en arrivant dans « Urgences ». J’y 
interprète Cléo Finch , une pédiatre d’origine créole. Jouer avec des enfants et des bébés n’est 
pas habituel : il faut se mettre au diapason de ses petits partenaires tout en ne s’éloignant pas 
du scénario. Au départ , je n’étais pas certaine de pouvoir relever ce défi , puis je me suis 
rendue compte que c’était un atout : les situations sont inattendues , dégageant du charme et 
de la spontanéité.



Pensez-vous avoir surpris vos partenaires ?

Oui par mes performances au basket ! Lors d’un épisodes , Cléo a du se mesurer au Dr Green. 
Tout le monde a pensé que ce n’était pas moi , que j’étais doublée. Mais , adolescente , le 
basket a été l’une de mes passions. De mon côté j’ai été bluffée par Noha Wyle qui joue 
Carter : il connaît tous les termes médicaux , il sait même faire des points de suture ! Je suis 
également ravie de travailler avec Eriq La Salle : Cléo et le Dr Benton sont très liés.



Parmi les conseils que l’on vous a donnés , quels sont ceux qui vous ont été 
utiles ?

Ceux de ma mère : ignorer les gens qui ne m’aimaient pas et continuer mon chemin ; garder 
l’esprit positif et concentré sur les buts que je voulais atteindre. Cela m’a permis de me sortir 
de n’importe quelle situation. Ce qui m’a aidée aussi , c’est la compétition entre ma soeur 
Erica et moi. Toutes ces armes m’ont permis de me lancer dans ma carrière d’actrice où je 
suis prête à donner le meilleur de moi même.


Franck Ragaine.

 


Sources : www.telepoche.fr